Darkadenna, à la recherche de l'aventure.

(lettre tachetée d'encre)" Bonjour à vous, je me présente, Darkadenna, du grand cercle Onze, je suis un disciple de ma Déesse Pandawa, je ne me rappelle ni de mon âge ni de la raison de mon alignement Brâkmarien. En effet, m'étant réveiller en 623 dans une taverne, entouré de Bontarien bien mal intentionné, je ne me rappelle de mon passé, et connaissant notre avenir, je tiens à devenir aventurier à vous aider à défendre les dofus.

Je pourrais comprendre de vifs réactions suite à la demande d'un Brâkmarien de protéger les dofus, autant confier des brebis aux fauves aux loups. Mais sachez avant tout que je ne suis pas Brâkmarien par choix, c'est la seule chose qui me lie à mon passé, qui me rappelle d'où je viens. En effet, en sortant de la taverne, je me suis trouvé nez à nez avec une bande de miliciens venant de Brâkmar, pour des raisons que j'ignore encore ils m'ont sauvagement attaqué, c'est aussi en ce jour que je découvris ma voix mon élément. Le feu. Par simple réflexe ou peut-être par instinct, je me me suis imbibé mes mains d'alcool, et provoquant une étincelle à chaque coup que je portais contre la cuirasse de ces miliciens, je faisais exploser leur corps. C'est les mains en sang que je débutai les premiers jours de cette vie...

Je souhaite me racheter pour les fautes que j'eusse commises jadis, qui me valent des regards et des crachats des insultes dont je ne comprends même pas le pourquoi. Votre Clan d'aventurier me semble tout à fait adapter à ma position situation.


C'est pourquoi je vous fait la demande de bien vouloir m'accepter parmi vous.


Avec mes sentiments des plus distingué respectueux.

Après un réveil difficile, -dû en particulier à la lettre de son banquier qu'il égara malencontreusement pour éviter une confrontation direct avec la taille de son coffre bancaire- Stee se rendit directement au repère pour y ranger sa paperasse. Il tomba sur la dernière candidature.

Hum.. pas mauvais mais un peu court. Il griffonna sa réponse au dos de l'enveloppe.

Hmmm non désolé c'est trop court, y'a de la volonté mais c'est un peu bâclé !

Pff... Le Père Sévérence ne lui avait donné sa vertu à celui là... on lui dit trop court... *Pensées obscènes* et plutôt que d'étoffer sa candidature il s'en va...

C’est donc où je m’étais arrêter que je reprends mon récit. J’avais relaté mon premier jour de vie, et aujourd’hui, je vous relaterai les jours sombres suivants qui me poussent à vouloir défendre ces Dofus.  
 C’est donc devant l’entrée de la taverne que les corps des miliciens étaient dispersés, en charpie. Des larmes coulaient de mes joues jusqu’à la terre imbibée de sang. Je pleurais, j’avais tué des gens qui voulaient me tuer, je ne savais pas pourquoi, je ne savais pas comment il m’avait trouvé. Je ne savais pas non plus pourquoi leur corps avaient explosé si simplement, je ne savais rien. Genoux à terre en insultant ma déesse de tous les mots, ou même mon Dieu, je ne savais pas encore à qui je devais ce corps. J’avais déjà commencé à me faire des amis; j’étais entouré de Brâkmariens qui avait assisté au massacre… Il ne me voulait aucun bien, et je le savais lorsque j'ai tendu mon cou dans l’espoir qu’une daigne lame vienne m’ôter ma vie, pour que je puisse retourner je ne sais où, pour que je sois tranquille. Il y eu donc le premier démon qui se jeta simplement sur moi dans l’espoir d’avoir sa ration de sang, malheureusement un autre se jeta sur lui, car celui-ci ne voulait pas laisser quelqu’un d’autre que lui me tuer. Il y eu donc une bataille entre Brâkmariens, dont j’étais le centre, je repense encore aux coups, au morsure ainsi qu’au lame que je reçus, presque toutes les cicatrices me viennent de ce moment,  que je ne souhaite jamais revivre… Une grande peur m’envahit pendant que je me faisais massacrer, le goût de la mort avait pris peur, et s’était fait remplacer par l’envie de vivre, je m’échappais donc du massacre, sorti du cercle que formait cette « bastonnade ». C’est à l’extérieur de celle-ci que je vis le sanglant de cette chose. La terre allait avoir sa ration de sang pour une bonne semaine. Soudain, un des Brâkmariens me vit,  j’étais terrifié par ses yeux noirs, et son sourire, il avança vers moi et fut suivi de toute la troupe. Je pensais mourir lorsque une explosion eu lieu en plein milieu de la troupe…

 Il y eu d’abord de la fumée, qui m’aveugla, lorsque celle-ci fut dissipée, je vis juste une flèche plantée dans le sol, des bruits de galop se rapprochaient vers moi. Je me fis attrapé par le col, et  monté sur une Dragodinde qui m’envoya loin de cet endroit, bien loin. J’appris que mon sauveur à la dragodinde était un Crâ digne de ce nom, adepte de la flèche explosive, et plutôt bourgeois, il était tout ce qu’il y avait de plus neutre, et connaissait les miliciens brâkmariens pour leur injustice. Etant gravement blessé il me conduisit chez lui, belle maison du château d’amakna, où je fut soigné par ses infirmières. Pendant trois nuits. Pendant trois nuits je me réveillais et voyais ce Crâ sourire en fumant sa pipe, sans son fauteuil brodé de Frises et de motifs sérianes.

C’est au cinquième jour de ma vie que j’appris son nom, court, et bien simple à retenir, Brik. Mon ami Brik. Il avait pour simple réponse à mes questions un sourire, précédé d’un gloussement, et suivit d’un rembourrage de sa pipe. Il me dit simplement que je devais me calmer, et que désormais, j’étais son compagnon. Sa déesse lui avait dit que Darkadenna avait besoin de lui, et il avait même été étonné de la réalité des détails qu'elle lui avait offerte. C’est donc à ses côtés que je me trouve encore aujourd’hui. C’est parce qu’il m’avait sauvé le vie que je comptais sauvé la sienne, désormais, les miliciens que nous croisions n’en voulait plus qu’après moi. C’est donc à mon dixième jour que je m’étais fait à sa présence, et qu’il me parla enfin sérieusement lorsque que je lui ai demandé une question que je posais fréquemment, « Qui suis-je ? ». Et c’est la première fois qu’il ne me sourit pas, il me répondit simplement, « Nous partons pour tes débuts ».

Je ne compris pas tout de suite le sens de cette phrase, c’est en arrivant à Pandala que j’ai eu une douce impression de déjà vue, qui me rappelle que avant mon réveil, j’existai. Je commençais à courir à travers ce monde que je croyais connaître, Brik me retenu. Ce fut la seconde fois qu’il me sauva la vie. Je me rappelais de la douce image de ma déesse, de la délicate odeur de bière sortant des tavernes où l’on pouvait entendre rigolades et chamailleries. Mais je ne me rappelais pas des bandits, des pandits, et du pandore.

Lorsque j’ai senti la main de Brik me tenant le col pour ne pas faire un pas de plus, je me suis rappelais de la « bastonnade », et je me suis arrêté sec. Devant moi se tenait le pandore, camouflé dans des herbes, mais la pense trop remplie de bière, et son sommeil trop lourd, pour pouvoir sentir ou voire quelque chose. Je regardais en dessous de mon pied, que je n’avais pas poser par prudence, et vis une brindille, une brindille faisant partie de celles qui crack en un bruit effroyable par le simple contact avec un pied (ou autre, d’ailleurs). Je reculais donc, et contemplais ce cher pandore, bien mal camouflé. J’avais eu peur. Je lançais vers mon compagnon un regard plein de questions. Il me fit signe de la tête, et nous fîmes détour pour finalement arriver à Pandala feu. Nous marchâmes en direction du temple, et les pandas que nous croisâmes sur la route se retournaient pour regarder mon visage, et sourire.

 Arrivé à destination, un panda dont la barbe reflétée les années passées, était complètement bourré. Je me retournais encore vers mon ami avec mon regard habituel, et me répondu avec sa réponse habituelle, un sourire. Le vieux panda tourna son regard vers moi, et dessoula sec. Il regarda au ciel et remercia ma déesse, il me prit dans ses bras et me dit que ce que j’avais fait n’étais pas bien, mais qu’il était prêt à ma pardonner tout. Il m'appela fils.
Je lui demandais explication, lorsque Brik se retourna brusquement vers un des murs du temple, il prépara une flèche sur son arc. Un moment de silence dura une bonne dizaine de secondes avant une bruit de tambour, qui entraîna l’explosion du mur, Pandore nous avez suivit, à l’odeur.






Ma chère déesse a fait voler ma plume, peut-être m’aurait-elle pardonné les erreurs du passé.

[i]Il me regarda, tapa sur son tambour, cracha par terre et se jeta sur moi. Tous les Pandawas avaient déserté le village. J’étais seul, avec Brik.  Il me regarda avec un regard plus qu’inquiet, et me tendu une énorme bouteille d’alcool, il me dit de boire, par instinct (…) je bus.
 Lorsque je me suis réveillé de mon « bourrage » je vis le visage de Brik, il souriait, dès qu’il vit que je revenais à la conscience il éclata de rire, je me levais et vis le pandore à terre, le ventre explosé, et le reste du corps plein de flèches. Les habitants du village n’étaient toujours pas revenus, et Brik me dit qu’il devait me faire voir quelque chose de très important. Je le suivais. Nous arrivâmes à un hôtel, il me dit que c’est ici qu’étaient placés les dofus autrefois. Dofus. Ce mot m’était étranger. Il m’expliqua tout, l’histoire des dofus, des brâkmariens voulant s’en emparer, tout. Il me dit que toutes les possibilités de me racheter étaient là. Il me connaissait donc avant ma première rencontre avec lui. Il souriait et me posa simplement la question suivante « Veux-tu te racheter pour des fautes que tu n’as pas commises, mais qui te valent encore aujourd’hui les violence d’inconnus ? » Je répondu « Oui » sans même hésiter. C’est là qu’il commença ma formation.

Voilà le gros de mes « aventures » (même si je n’aime pas l’utilisation de ce mot dans ce contexte, je n’en trouve pas d’autre), je vous pris de bien vouloir reconsidérer vos jugement, et espère pouvoir vous être d’un grande aide.


Ma chère déesse a fait voler ma plume, peut-être m’aurait-elle pardonné les erreurs du passé.[/i]

Je ne fais pas parti des aventuriers donc tu n'auras pas mon avis quant à intégration au sein du groupe des aventuriers mais je tiens à dire une chose : ça aurait été bête de t'arrêter où tu t'en étais arrêter. Tu as une mémoire très étoffée de détail, ton parchemin est d'une qualité indéniable...

*Prie sa déesse et le père Sévérance*
Merci d'avoir guidé sa mémoire vers sa plume....

Je suis tout à fait pour ta venue dans la guilde, tu possède une bonne caligraphie, je ne t'ai jamais vu faire de fautes d'orthographes de mémoire ^^.

J'ai bien aimé ton histoire, bien assez longue. Je pense que tu pourrais faire un bon aventurier !

(Je me permets de remettre cette candidature en haut de page car elle m'a l'air un peu oubliée)

Oui, encore une candidature oubliée en trop ; je demande avis à ceux qui sont encore dans la guilde pour confirmer sa venue !

Personnellement je suis pour, tu as l'air très sympathique.
Je n'ai pas répondu jusqu'à présent ce n'est pas parce que je ne doute sur la venue mais sur le fait que tu puisses ne pas te plaire chez nous.
Alors si tu restes gai enjoué en toute connaissance de cause causante malgré une ambiance parfois en berne :p
C'est oui.
Enfin c'était déjà oui mais là encore plus.